A Ma Femme Que J’Aime

Je ne sais comment te remercier d’avoir accepté de m’épouser. Tu fais ainsi mon bonheur pour le reste de ma vie.
Je comprends bien sûr ce que mon rôle de mari m’impose: être cocufié encore et encore, me plier à tous tes désirs, accepter toutes tes humiliations. J’ai aussi bien compris que je suis ton mari, mais que ton amant est ton mâle, et qu’à ce titre, il a le droit légitime de me dominer et de me considérer comme son serviteur docile, voire sa deuxième femelle.

Je m’appliquerai donc désormais à vous servir et à faciliter vos ébats. J’accepterai aussi, avec reconnaissance, que tu me soumettes aussi à tes autres amants. Je sais que je suis efféminé, que je n’ai pas une grosse bite mais un petit clitoris de 6 cm même bandé, que je suis un éjaculateur précoce et que j’aime être soumis et humilié mais si cela peut amuser tes amants, je n’offrirai qu’une servile résignation lorsqu’ils souhaiteront me faire subir leurs sévices.
En particulier, pour mieux nier mon statut d’homme, je revêtirai cette tenue de soubrette que tu laisses toujours à mon intention dans le garage, près de la paillasse où vous me faites dormir.

Je comblerai toujours tes désirs et ceux de ton amant. Je me promènerai donc en porte-jarretelles et mini robe noire. Je suis reconnaissant à ton amant de bien vouloir te baiser devant moi, pour bien te montrer à quel point je suis inadéquat comme amant.
Il est juste qu’il m’humilie en me pinçant les tétons jusqu’à ce que je pleure, puis en m’enfilant son superbe zob d’étalon jusqu’au fond de la gorge.
Il est également juste que vous refusiez désormais que j’aie la moindre relation avec toi, sauf lorsque tu me masturbes avec tes hauts talons.

Tu as exigé que je trouve moi-même les moyens de m’humilier davantage. Je demande donc la permission, lorsque ton superbe étalon te prendra, d’avoir l’autorisation de lui lécher le cul pendant qu’il te pénètre et te fait jouir.

J’espère pouvoir lui être agréable, et à toi aussi, en essayant d’introduire ma langue d’esclave dans l’anus de ton amant afin de récolter les restes de ses excréments.

Te voir onduler sous ses pénétrations, voir la longueur de sa hampe bien dure s’enfoncer dans ta chatte, me dire que désormais, celle-ci m’est interdite, tout cela comble mon esprit de cocu soumis. J’accepterai également toutes les humiliations publiques auxquelles vous voudrez bien me soumettre, comme lors de notre mariage où tu t’es offerte à tous les invités et tu m’as obligé à en faire de même.

J’ai hâte que tu sois de retour avec lui ce soir, pour que je puisse à nouveau entendre tes cris de jouissance et recueillir enfin, sur ma langue, le sperme de ton bel amant.
Peut-être daignera-t-il m’enculer ensuite en me faisant pleurer de joie devant la dureté de sa queue qui m’explose la rosette et vient buter dans le fond de mes entrailles ?


Ton mari soumis, cocu mais heureux.

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